Les 12 travaux de Diane
« Je me sens comme Astérix et Obélix qui, dans Les 12 travaux, doivent affronter le système administratif qui les rend complètement fous. »
« Je me sens comme Astérix et Obélix qui, dans Les 12 travaux, doivent affronter le système administratif qui les rend complètement fous. »
« Gérer le transport collectif et les sociétés de transport, ce n’est pas une mission de l’État. »
Clarifions d’abord une chose : j’aime beaucoup mon collègue Patrick Lagacé, presque autant que j’aime les Îles-de-la-Madeleine, ce qui n’est pas peu dire. C’est un gars brillant, avec qui je me trouve à être d’accord la plupart du temps. Mais pas cette fois-ci.
Dans une célèbre expérience de pensée sur la physique quantique, le Prix Nobel Erwin Schrödinger a imaginé un chat qui était à la fois vivant et mort.
« Révolution ou apocalypse », « L’écocide continue », « Vous mourrez de vieillesse, mais nous, nous n’aurons pas cette chance »… À lire les sombres messages des pancartes brandies dans les rues de Montréal, dimanche, une vieille image m’est revenue en tête.
Êtes-vous déjà allé aux Îles-de-la-Madeleine ? C’est magnifique. Probablement le plus bel endroit au Québec. J’y suis allé deux fois, je rêve d’y retourner…
Les spécialistes en finances vous le confirmeront : il faut faire travailler son argent. Lorsque placés au bon endroit, ces petits soldats de papier sueront à votre place.
Il y a deux semaines, après des jours de furetage compulsif sur Google Flights, j’ai réussi à mettre la main sur des billets d’avion à bon prix pour l’Europe.
Ce sont deux des plus grands terrains en friche à Montréal. Deux sites qui ont fait l’objet de nombreux scénarios, espoirs et déceptions, dans la dernière décennie. Et deux secteurs où on sent – enfin – du mouvement.
À l’âge de 18 ans, j’avais déjà vécu dix défilés de la Coupe Stanley dans les rues de Montréal. Ça veut dire un, en moyenne, tous les 20 mois de mon existence. Quelqu’un âgé de 30 ans aujourd’hui n’en a vu aucun. Zéro en 360 mois sur Terre.
En août 2001, Sébastien Ouellet a commencé à faire ce qu’il aime le plus faire au monde : enseigner.
Rayan Dieudonné revient de loin. La jeune vedette du film Kanaval d’Henri Pardo, qui a défilé sur le tapis rouge à Toronto l’automne dernier et qui s’apprête à en fouler un autre, cette fois à Montréal, est un enfant du chemin Roxham. Il a fait la périlleuse route des migrants en 2018 avec sa mère et sa petite sœur. Voici son histoire, racontée par notre chroniqueuse Rima Elkouri.
Connaissez-vous la fameuse citation de Coluche qui dit : « Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans, il faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs » ?
Le logement est annoncé comme ça, sur le site d’Airbnb : « Ce n’est pas la maison de votre grand-mère. » Vous venez ici pour faire le party. Le gros party. Il y a une table de poker, un vert de golf, une table de ping-pong, une salle de jeux vidéo, une chaîne stéréo démentielle, des lits pour accommoder 14 fêtards, bref, de quoi écœurer vos voisins jusqu’aux petites heures du matin.
La télé américaine nous a appris cette semaine qu’en raison d’un excès de wokisme, le Canada ne méritait plus son titre de « plus meilleur pays du monde ».
J’ai un scoop pour vous : les rues de Montréal sont propres.